poétique de la tourmente

Publié le par valérie

Ces joies qui sont comme des douleurs
N'en parlons plus
Laissons le monde mort écouler ces ruisseaux
De sang jusqu'à la mer
Laissons la nuit monter et pénétrer le ciel
De fulgurante nuit
Monde obscur et maudit dont le poids me soulève
Je vous charge des peurs, je vous charge des maux
Et du feu qui me ronge
Et je reste vaincu au bord de ce présent
Fatal et dépouillé en gloire et en révolte
Je meurs lentement de vivre entre moi-même
Et la malédiction de ces jours inutiles.


serge simplex



totem

arérographe photoshop sur peinture

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R
bon je viens après les autres sur cet article, oui l'oiseau est visible mais derrière il y a un corps humain, enfin c'est ce que je vois. Bisous
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V
au fait jean -yves "j'ai remarqué que plus je luttais moins j'étais libre " , oui  ça tombe sous le sens , mais on devrait pas ounlier que la liberté la plus profondémment intime  s'obtient fatalement par une lutte , contre l'asservissement qui nous vient des conditions que l'on nous a mis à être" humains" , pour commencer , puis on doit lutter contre "l'homme de paille" qui nous induit dans l'erreur .sans parler du monde entier , qui même aceuillant et surtout, peut-être , referme les pieges contre chacun de nous , qu'on les graigne ou qu'on ne les craigne pas .enfin voila pour dire quoi ...
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V
oui oui l'oiseau est enfermé , en fait c'est une boule à neige , et contraste lumiére ténébre exprés accentué
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V
oui rem , il y a bien un oiseau et,cher  jean -yves , il a bien du mal à prendre son envol !
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J
Je vois un oiseau en plein vole en premier plan, et un personnage derrière lui.J'ai remarqué que plus je luttais moins j'etais libre...Je vois encore un contraste de lumière sombre et lumineuse.Laisse s'envoler l'oiseau qui est en toi !
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