provençe , méditérranée , corse , ceci n'est pas un bulletin météo !

Publié le par valérie

ce sont des lieux ou l'expression " amour de la nature" prend tout son sens , la ou commence le  "là-bas" de mes rêves d'ailleurs .
Des terres sauvages d'ocres , d'azur et  d'un bleu qui dévore les verts! le vert des feuillage qui survivent au soleil,

bleu l'horizon des matins enchanteurs aux lendemains enchantés ...
jaune , jaune  soleil , d'or multicolore qui se répand comme une gangréne dentelliére , de méche , blonde! avec les départs et les arrivées d'une divine lumiére.
et pardessus tout , le ciel et la mer, l'odeur d'iode la douceur du bruit de vague imprégnant la rumeur , ou la morsure du soleil franc quand l'eau n'est pas dans les parages .
les cailloux qui sont pas gris , les falaises roses , les bois à flanc de montagne
au loin , comme un mirage , c'est le ciel avec le soleil
Victorieux dans le silence
Impératif et flambeur
Le soleil  est cet amant a qui l'on pardonne tout
Dés la première caresse qu'il pose sur notre peau
Il
fait taire les querelles
et danser la poussiére
c'est là ce que nous sommes
 il en  sonne le rappel
Et juste là sous le ciel ne reste que l'essentiel
Alors on léve les yeux ,
et on reléve la tête
quand je m'adresse aux cieux
Dieu s'appelle 'la mouette'
Comme un pére chaleureux
invoque un long "sunset"
pour que je séche mes yeux
avant que  tombe la nuit.

" ELLE EST RETROUVEE
QUOI?
L'ETERNITE
C'EST LA MER HALEE AVEC LE SOLEIL "  Arthur RIMBAUD 




Une belle ocassion de poster des images peintes sur place ou en y rêvant , de vous montrer mes copies de Cézanne aussi , comment penser à la provence , sans l'évoquer ,il  manque Van Gohg ...
mais CHHH , écoutons le silence , les grillons , le ronron des vagues
en ésperant ne pas trop vous décevoir ...

maison à travers ma fenêtre à ... Lyon
arbuste  en forme de mistral devant la fenêtre ,provence ou midi
cailloux devant la fenêtre


femme ,pour faire plaisir aux yeux de monsieur "je tombe à Moureu"*

* Moureu / PETIT VILLAGE DANS LE VAR

*****2 copies  des fameux tableaux  de Cézanne****
nature morte à la cruche


l'original ...aie !  no comment

voir la nature morte de jean yves

euh le pont de... bidule truc

ou , une de la serie du pont de la marne créteuil , celui ci est bien plus vert et inversé voir link
et ici l'original

pastel retraillé avec totoshop( j'aime ...)


et puis la mer en vrai !  pour basic instinct
 
Qui  a l'art insolite : celui de  cumuler un blog interdit aux mineurs, au contenu mi rock mi boudoir d'autrefois mi trip total cul  ( désolée les enfants ).
son humour ,
 son  intéret pour son prochain , éttonent , détonnent et  laissent  loin dans le brouillard des clichés, tout ce à quoi on "s'attend" de la part d'un homme asser branché sexe pour "blog-quer" sur le théme.
 De plus le bougre vous  pimente la  boite à com de petits mots raffinés , aiguisés  et  d'une lucidité  toute pimpante
de rires en suspensions .
dis basic , ç'est bien ?

moi aussi j'adore la mer !
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V
c'est  comme ça oui p! comme c'est beau !
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V
...no comment ...
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B
meme en sortant de garde surtout en sortant de garde il fallait que je t'en resserved'mon cri d'amour enguirlandéecouteecoutedans le silence de la mer il y a comme un balancement mauditqui vous met le coeur à l'heure ... "<br /> La marée je l’ai dans le cœur<br /> Qui me remonte comme un signe<br /> Je meurs de ma petite sœur<br /> De mon enfant et de mon cygne<br /> Un bateau ça dépend comment<br /> On l’arrime au port de justesse<br /> Il pleure de mon firmament<br /> Des années lumières et j’en laisse<br /> Je suis le fantôme Jersey<br /> Celui qui vient les soirs de frime<br /> Te lancer la brume en baiser<br /> Et te ramasser dans ses rimes<br /> Comme le trémail de juillet<br /> Où luisait le loup solitaire<br /> Celui que je voyais briller<br /> Aux doigts du sable de la mer Rappelle-toi ce chien de mer<br /> Que nous libérions sur parole<br /> Et qui gueule dans le désert<br /> Des goémons de nécropole<br /> Je suis sûr que la vie est là<br /> Avec ses poumons de flanelle<br /> Quand il pleure de ces temps-là<br /> Le froid tout gris qui nous appelle<br /> Je me souviens des soirs là-bas<br /> Et des sprints gagnés sur l’écume<br /> Cette bave des chevaux ras<br /> Au ras des rocs qui se consument<br /> Ô l’ange des plaisirs perdus<br /> Ô rumeur d’une autre habitude<br /> Mes désirs dès lors ne sont plus<br /> Qu’un chagrin de ma solitude image-2mer.1183364955.jpg Et le diable des soirs conquis<br /> Avec ses pâleurs de rescousse<br /> Et le squale des paradis<br /> Dans le milieu mouillé de mousse<br /> Reviens fille verte des fjords<br /> Reviens violon des violonades<br /> Dans le port fanfarent les cors<br /> Pour le retour des camarades<br /> Ô parfum rare des salants<br /> Dans le poivre feu des gerçures<br /> Quand j’allais géométrisant<br /> Mon âme au creux de ta blessure<br /> Dans le désordre de ton cul<br /> Poissé dans les draps d’aube fine<br /> Je voyais un vitrail de plus<br /> Et toi fille verte<br /> Mon spleen<br /> <br /> Les coquillages figurant<br /> Sous les sunlights cassés liquides<br /> Jouent de la castagnette tant<br /> Qu’on dirait l’Espagne livide<br /> Dieu des granits ayez pitié<br /> De leur vocation de parure<br /> Quand le couteau vient s’immiscer<br /> Dans leur castagnette figure<br /> Et je voyais ce qu’on pressent<br /> Quand on pressent l’entrevoyure<br /> Entre les persiennes du sang<br /> Et que les globules figurent<br /> Une mathématique bleue<br /> Dans cette mer jamais étale<br /> D’où me remonte peu à peu<br /> Cette mémoire des étoiles<br /> <br /> image-5mer.1183364982.jpg Cette rumeur qui vient de là<br /> Sous l’art copain où je m’aveugle<br /> Ces mains qui me font du fla-fla<br /> Ces mains ruminantes qui meuglent<br /> Cette rumeur me suit longtemps<br /> Comme un mendiant sous l’anathème<br /> Comme l’ombre qui perd son temps<br /> A dessiner mon théorème<br /> Et sous mon maquillage roux<br /> S’en vient battre comme une porte<br /> Cette rumeur qui va debout<br /> Dans la rue aux musiques mortes<br /> C’est fini la mer c’est fini<br /> Sur la plage le sable bêle<br /> Comme des moutons d’infini<br /> Quand la mer bergère m’appelle<br /> "<br /> leo ferrèlol c'est long mais c'est beau<br /> (encore mieux avec sa musique et chanté par lui<br /> kiss for you ... (c'est comme ça ???)<br /> ptdr;)
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V
tu exagéres ! si c'était vrai ce serait beau , comme un séance de psy! lol!non la mer!! de là ou j'ai grandis ! pk ne pas me croire ??
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B
je sais bien que tu adores la mère c'est bien l'unique que tu aies aimée...tendrement
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